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SYCOPHANT Reviews

METALSTORM by Troy Killjoy: http://www.metalstorm.net/pub/review.php?review_id=10008 
Dwellers Of The Twilight is a two-piece black metal band from France - unsigned and searching for the right label. Sycophant is their second full-length release, following up 2009's Grey. And the differences are more than noticeable.

Initially it seemed as though the Dwellers (by the names of Human 1 and 2) sought out to join the hordes of raw lo-fi black metal projects, but Sycophant saw them take a turn in the right direction. The direction that makes reviewers like me draw comparisons to the likes of countrymates Deathspell Omega and Antaeus, for willing to experiment within the confines of what some think of as a tired genre.

The sound isn't entirely their own, but it's not exactly a carbon copy either. There seems to be a strong focus on the psychedelic effects the guitars create, distorting their way into a mythical, occult madness - sometimes even reminiscent of contemporary Akercocke. It's not the hoity-toity type of atmospheric black metal that a lot of Alcest rip-offs are vying to emulate, it's the kind of album you absorb while simultaneously taking in the mosaic that is W. Somerset Maugham's Of Human Bondage over tea and crumpets crepes (it's okay to think A Forest Of Stars here, so long as they have curly mustaches).

So you've got the psychedelia, the occultism, the all-around raw maniacal machine of a parasite that is the Dwellers Of The Twilight, but what of the spaced out intellectualism marred only by a true cynic's disbelief. That's a fancy way of me telling you that this isn't a straight-up balls to the wall anti-humanistic tongue-lashing for the weak, but a mesmerizing mix of spite and aggression with orchestrated insanity that borders on conspiratorial skepticism to go along with a time-changing propensity most progressive metal bands would be proud of.

This is both black metal for gentlemen as much as it is black metal for nihilists. See for yourself which group you belong to: http://dwellersofthetwilight.bandcamp.com/.

METAL IMPACT (in french) by Cyber IF : http://www.metal-impact.com/index.php?name=Reviews&req=showcontent&id=4633
Ils avaient fait une forte impression avec leur premier album, Grey, les deux comparses à l’identité secrète de DWELLERS OF THE TWILIGHT. De retour dans l’actualité, c’est, cette fois, Sycophant, qu’ils désirent nous faire partager. A savoir que ce nouveau disque était déjà prêt depuis pas moins de deux ans, et attendait simplement de se trouver un label, suite à la défection d’Eichenwald. Face un horizon désertique, le duo a alors décidé de le rendre disponible digitalement.

Comme pour la pochette sombre et grinçante de son prédécesseur, l’artwork de ce disque est analogue à son ambiance. En effet, ce qui surprend, d’office, est la qualité de la production, en nette amélioration. Plus organique, mais pas moins venimeuse, la musique du combo crache moins sur les saturations, et le son gagne en définition, ainsi qu’en puissance. La batterie programmée par Humain #1 n’est pas anodine à cette bestialité accrue, puisque présentant davantage de relief. Dans la continuité de Grey, les rythmiques sont écrasantes, parcourues de breaks poisseux déshumanisés, conférant des dynamiques sensées aux morceaux. Souvent intenses dès les premiers accords, les cadences sont difficilement tenables et transcendent l’espace-temps d’hyper blasts à profusion (« Unearthing Story »). Néanmoins, le soutien des riffs mortuaires donne lieu à des cinétiques rageuses et, à l’instar de « Terraformer », à un groove rudement entêtant. Par ailleurs, les variations de tempo aisées profilent des structures plutôt complexes, créant des labyrinthes déstructurés. Bien que l’improvisation fût de mise lors de l’enregistrement, les pistes époustouflent de leur fluidité soignée. Les allures versatiles ont alors pour effet de prononcer le malaise des breaks lourds, et accentuer la violence des accélérations endiablées (« Fastwalkers »). Cette diversification appelle également plus de mid tempo qui voit fleurir des riffs ingénieux, ou bien des tendances Post Black massives et nerveuses. Les Franciliens manient leurs pistes avec une simplicité maléfique. Toutefois, l’on regrette que la basse soit occultée de la perception auditive, se laissant grignoter par les guitares. Quelques arpèges parviennent quand même à échapper à l’oppression des cordes voisines pour laisser retentir leur résonnance.

Avec des titres plus longs, l’instrumentation contamine davantage d’espace sonore, et s’empare même complètement de « Sycophant », qui contraste avec les simples interludes du disque précédent. Cette plage-ci n’est pas spécialement virulente, et conserve une célérité modérée pesante, agissant sur la trame dissonante hallucinatoire. Les compositions absorbent ainsi l’auditeur de leurs atmosphères martiales et charmeuses, l’englobant dans une nébuleuse sépulcrale à l’écart du monde. Les guitares, moins bruitistes qu’en 2008, mais tout aussi démentes, se lâchent en déferlantes de riffs distordus qui continuent de monopoliser le fond sonore de saturations épaisses, et se montrent également plus réfléchis. Dynamisant les plages à sa façon, Humain #1 n’hésite pas à se rabattre sur des plans plus audibles, avant de redevenir acerbe sur les percussions débridées, et créer de féroces sections instrumentales (« Skeptics »). Certains titres, menés par des cordes ronflantes, prennent des airs plus épiques, tout en gardant une profonde noirceur dépeinte par les vocaux (« Dark Matter Lungs »), ou se tournent vers des schémas plus Thrash, tels que sur le final du monstrueux « Serpents In The Sky ». C’est là que la nouvelle production prend toute son ampleur, lorsque l’ensemble des instruments parvient à rester perceptible et cohérent sur des sections haineuses où les jeux sont poussés à leurs maximums. De plus, les cymbales ont abandonné leur constante cacophonie pour se contenter de crashs intelligents.

L’influence d’ANAAL NATHRAKH est toujours d’actualité, surtout avec les vocaux qui deviennent plus mémorables. Par exemple : le refrain habité et dantesque d’« Explorers », qui dépasse la simple dimension musicale, où overdubs abyssaux se greffent harmonieusement sur le chant éraillé. Humain #2 a amélioré ses capacités vocales qui apparaissent, dès lors, moins râpeuses, et ressortent davantage dans le mix. On note plusieurs variations comme des chuchotements, le chant désossé et maladif en backing sur « Self Conspiracy », ou des hurlements, reflétant la folie, qui se matérialisent par une spatialité hégémonique. A vrai dire, l’on n’est plus vraiment dans une prestation typiquement Black, ce qui lui permet d’apporter de la consistance à ses lignes, désormais clairement mises en avant, et efficaces en compagnie des riffs infernaux (« Endless Circle »).

Exposant toujours plus leur musique crue et vivante, les deux Franciliens offrent des morceaux d’une rare intensité. Noires mais lucides, les compositions de DWELLERS OF THE TWILIGHT révèlent également une grande richesse dans le traitement de leurs atmosphères effroyables, ainsi qu’un entrain déconcertant au cœur de la toile infinie de dissonances. Grâce à ce nouvel opus, le duo pousse son Black Metal sur une voie plus personnelle, poursuivant toujours une démarche conceptrice qui lui est propre. Sycophant est, sans conteste, une des révélations de 2011, et s’impose désormais, lui aussi, comme monument de l’essor créatif de la scène Extrême française.



DON'T COUNT ON IT REVIEWS by Ian: http://dontcountonitreviews.blogspot.com/2011/12/dwellers-of-twilight-sycophant-2011.html

Dwellers of The Twilight is one of those projects that really expanded what I thought of black metal a couple of years ago. At the time when I heard "Gray," I had never heard something as raw and mechanical before. What else would you expect from two freaks with bags over their heads?
As far as I know, this album has been finished for quite some time now and is only being released because the duo couldn't find a label to release it, if I'm wrong please correct me. Besides that, musically you find the duo expanding the sound demonstrated on their debut. While their debut was coined as being "atmospheric", it was a very claustrophobic album to listen to because it retained an intensity that usually isn't found within that sub-genre. This album by comparison is more open atmospherically, not by much, but enough to give you as a listener some breathing room. The duo have also brought in a bit more of a thrash element, hear Dark Matter Lungs, into their sound, especially in the drum-programming, which does give the album as a whole a bit more diversity between the blasting sections.
I'll be straightforward and say that this is a better album than the debut. First of all, the songs are just a lot more memorable and catchy, to an extent easier to digest, but not by much. Tracks like Explorers and Self Conspiracy just stick out with just ripping riffing that's creative while remaining very traditional to black metal tremolo picking. Like I said above, songs are less compact and dense sounding and have a bit more room, which can also be said about the song's lengths. While not by much, the songs on here are a bit longer, with several being over five minutes, which is long for a band who's debut featured songs that rarely even topped four minutes. Along with that, I feel that the band have also become more comfortable embracing different tempos, because the debut was more along the fast side, where as this is much more varied in speeds. All of these things add up to a much more enjoyable album, for myself, and led me to listening to the album quite a few times in a row. I know that in the grand scheme of things, some of the ideas on here aren't original or unique, but I feel that these guys do an impressive job at keeping a very blackened core in tact while toying around with other ideas.
I was very impressed by this album and I like how the duo have grown and progressed. This album was certainly worth the wait and I can only hope that a label decides to pick them up because this is very solid. Definitely look into it if you want to hear a band experiment with various ideas while retaining a black metal core. 






GREY REVIEWS

KERRANG (KKKK out of KKKKK)
PULVERISING FRENCH BLACK METAL WITH AN APOCALYPTIC BENT.
At this point, a quarter of a century after the first wave of black metal, there's not much to be achieved with blanket agression alone. Some have gone the progressive route, others have taken a more OTT symphonic slant while Dwellers Of The Twilight, with their programmed drums and distorted industrial edge are clearly trying to write the soundtrack to the apocalypse. It's not an entirely new sound - see Anaal Nathrakh for one- but they have enough of their own ideas, not to mention a viciously driving energy to make this an occasionally jaw-dropping debut.

ROCKSOUND UK (7 out of 10)
With incredibly hyper-fast drumming and buzzing guitars lashed around demonic vocals, Dwellers are intent on out blackening the hardiest of souls. The mission: to flay skin, leaving the bones bleached and sandblasted. An initial inability to stand out sufficiently in the mire is dismissed once the punishing "Trail Of The Foes" erupts. The drums are at the core, pounding like a machine built with the legs of a horse and arms of the behemoth. "Blessed Heir" utilises hypnotic, repeated riffing and keyboard noise to buil momentum, before allowing the drums free-reign again, whereas "Crow Of Sadness" and "Trail Of The Foes" remain unrelenting brutal assaults of grinding black metal.
For fans of : Anaal Nathrakh, Darkthrone, Averse Sefira, Pig Destroyer.

METALHAMMER UK (feature)
Rather than run around the forests contemporary French black metal has a tendency to invoke the claustrophobic, paranoia-inducing realms of the urban environment. Dwellers Of The Twilight are a case in point. Rather than commune with the elements, DOTT sound like they're holed up in a concrete maze. The detune riffing of their debut CD, Grey, is lashed to a rampaging velocity that will please fans of classic BM, but it will still pull all their assumptions to shreds, veering into off-centered trajectories and queasy atmospheres with an appreciation of dimension that would give M.C. Escher sleepless nights.

ROCKHARD DE (7out of 10)
Coming soon...


DARKMAG.NET (5 out of 5) in french
L'Enfer sur terre. Créé apparemment en une semaine sombre de septembre 2006 – l'objectif à atteindre est de créer à l'instinct – Grey, des Français de Dwellers of the Twilight (DotT) expose un Metal extrême, torturé, complexe, chaotique, au bord de la folie. Glaviot de haute volée, Grey est une sorte de copulation technique, élitiste et industrielle du Black, du Thrash et du Death à la française, rappelant inévitablement les ténors du genre : Arkhon Infaustus, Crystalium, Ad Hominem, Diapsiquir, Blacklodge, Haemoth, C.Y.T & Drastus, et plus récemment N.K.V.D (on pensera aussi à Anaal Nathrakh chez les anglos). Par certains côtés, DotT me fait également penser aux excellents et mystiques Vucub Came. Bref ! Avec un tel opus, j'ai du mal à croire que cela a été composé et enregistré en une semaine – ou alors les artistes sont un duo de génies. J'ai comme un soupçon sur les gus derrière DotT – car ils ont un talent dingue !
Je ne suis généralement pas fan de telles oeuvres, mais là je reste béat devant un tel travail. La boîte à rythme est très bien programmée : hyper speed, violente, martiale, elle est à elle seule une pure merveille. Inutile d'en dire plus, pensez aux batteurs des groupes précités et vous aurez une idée de ce qu'elle est ici. Pour ce qui est de la voix, elle se fond parfaitement à l'ensemble. Sans être extraordinaire – elle est l'instrument le plus rare et difficile à maîtriser – elle a le mérite de ne pas gâcher le reste. Pour ce qui est des guitares et des structures, cela reste en grande partie du Black Metal, mais on constate que le guitariste s'est fait plaisir, insérant pas mal de plans techniques quasi Death. Sans compter que ces parties déstructurées sont torturées et chaotiques : on ne pourra saisir Grey d'une première écoute, c'est aussi simple que cela à comprendre. Franchement époustouflant. J'aurais du mal à surligner chaque titre en soi, qui sont tous bons : en effet l'homogénéité de Grey, tant stylistiquement que dans sa production, font de la pièce un monolithe trop compact pour pratiquer la dissection sur celui-ci. Cette caractéristique a par ailleurs l'effet d'hypnotiser, un effet que j'adore et qui prend tout son sens sur la contrastée avant-dernière piste : lente, lourde et morbide (et cette outro de folie, mazette !). Croyez-moi, voilà trente-deux minutes de pure agression et d'intensité jouissive...


Dwellers of the Twilight a conçu avec Grey une oeuvre imposante, un coup de folie, un chef-d'oeuvre qu'il faut absolument découvrir et soutenir. D'ores et déjà un très grand groupe, un challenger de haut niveau sur lequel il faudra compter !

ARCHAIC MAGAZINE
Brand new UK label Eichenwald Industries is quickly showing its worth in black gold with the release of Dwellers of The Twilight's debut album "Grey". Hailing from France this unholy duo play something of a cross between early Immortal and Anaal Nathrakh, shaping the frosty bite of the former and the filthy urban darkness of the latter into something that succeeds expectations on just about every level.


Focusing their attention on creating actual songs "Grey" manages to flow seamlessly through each of its nine tracks with an almost ominous sense of ease, flickering between bouts of sonic barbarity ("Sovereign of Sulphur") and discordant, ultra dark atmospheres ("Domus Mundi"). The odd hint of death metal creeps through on the magnificent "Trail of The Foe" further adding the greatness of it all, while the gloomy/doom-y chords of "Darkest Son" set the mood for final ambient/instrumental track "Grey II" to finish things off in suitably disturbing style. Much like the aforementioned Anaal Nathrakh, Blut Aus Nord or The Axis of Perdition, Dwellers' music has more to do with the very real horrors of our industrialised world rather than trolls poking around in some forest, which enables their material to come across that little bit eerier. After all, in this day and age fact is far scarier than fiction.


Without fannying on with endless accounts of how grim, true or kvlt their music/outlook is Dwellers of The Twilight have instead created a debut that is able to stand out as a great black metal album on its own merits, rather than the childish outpourings of many of their lesser contemporaries. A promising example of the sheer quality of French black metal 2008.

MORTEM ZINE 9/10 (in czech)
Líbí se mi, když chce kapela tvorit intuitivní hudbu a verejne tento úmysl deklaruje. Nechodit okolo horké kaše a vyložit karty na stul informací, že hrajeme, co nás zrovna napadne, je sympatické gesto. Minimálne aspon pro me, nebot mám stul plný promo cédécek od spolku, jejichž jediný um spocívá ve schopnosti strukturovat skladby podle milionkrát ohraného metalového mustru. Není prekvapením, že jde vetšinou o jména zaštítená velkými vydavatelstvími, jejichž odbyt vytvárí hlavne fanoušci, kterí se ješte pravidelne neholí.


Snaha o dekonstrukci by však mohla být kapele osudná, protože si ji muže dovolit jen nadaný clovek. Hudební impotent bez špetky kreativity vezoucí se na soucasné módní vlne, která ríká, že co není „post", není vubec, težko stvorí neco zajímavého. Je totiž stejne jednoduché zaštitovat se nekonvencním prístupem jako léty proverenou tradicí. Nevidím pak rozdíl mezi neotrelým blbcem a blbcem tradicionalistou. První z nich jen vypadá lépe, jelikož svou neschopnost prezentuje novým zpusobem.


Delící cára mezi srackou a umením je samozrejme velmi tenká. U Francouzu ríkajících si Human 1 a Human 2 jsem si nejdríve nebyl moc jistý. Jako každé „post" metalové album je „Grey" zpocátku neprístupné, odmítající kohokoli jen tak vpustit do svého sveta. Ovšem po nekolika posleších se z nevýrazne naprogramovaných bicí a chaotického kytarového náporu vylouplo dílko, které je obdareno schopností udelat z posluchace uslintaného pošuka, který sedí pomocený v houpacím kresle s tužkou vraženou v uchu.


Celá deska je jako exkurze surrealistickým snem odehrávajícím se v psychiatrické lécebne, kde se na vás naráz ze všech pokoju vyhrnou pacienti. Jeden vám chce ukázat, jak z vlastních výkalu vyrobil šachy, další jen civí a olizuje zed, jiný se snaží ukousat si nohu, za kterou je pripoutaný k židli. Když už se s hruzou dopotácíte k pokoji lékare, najdete cloveka bez rukou, jak se v posledních sekundách života snaží vyprostit zpod skríne, kterou na nej chudáci „pacoši" prevrhli poté, co mu klícem upižlali horní koncetiny.
Když už se konecne zpocení probudíte, oddechnete si, že máte za sebou jen hloupou nocní muru, a jdete si opláchnout oblicej. Pri pohledu do zrcadla ale místo sebe spatríte rozšklebenou tvár jednoho z pacientu, který se po vás natahuje. Najednou tma a ticho, prerušované jen kapáním vody. V koupelne nikdo není. Jediné, co po vás zbylo, je kartácek na podlaze. Najednou se octnete v povedomé budove bez oken a dverí. Procházíte místnostmi až spatríte cloveka, který leží mrtvý na podlaze s tvárí vraženou do cehosi rozpadlého a zapáchajícího, co pripomíná šachovnici…
Nejvýstižnejším slovem hodícím se pro „Dwellery" je znepokojivost. Presne tento dojem ve mne po pulhodine s nimi zustává. Když se ukáže náznak pravidelnosti, je prerušen. Když se prerušování zacne zdát rytmizované, je prerušeno. Táhlé pasáže se bez rádu strídají s rychlými. Jedna skladba pusobí jako pospojovaná z nekolika ruzných a když už máte pocit, že jste je dostatecne naposlouchali, uvedomíte si, že pred vámi vlastne vubec nic nevzniklo. Nic, co by se dalo slovem uchopit, jen chaos. Skladby koncí náhle, jakoby ve studiu vypadl proud, ambientní mezihry jsou podivne stísnené a celé se to zadírá pod kuži jako svrab. „Beztvárnost" a také jakási sklicující nevyrcenost vyvolávají dojem, že jste zavrení do klece, ze které nemužete ven.


„Grey" je nepríjemné, hnusné, sklicující, protivné a predevším neuveritelne vlezlé. Zároven také geniální.





OTHER





AQUARIUS RECORDS
"[...]Here is the debut release from Dwellers Of The Twilight, a French duo who channel the hateful blackness of groups like Anaal Nathrakh and Carpathian Forest (the bands that the label references), but also plenty of super clinical heaviness a la countrymen Blut Aus Nord, as well as a bit of that classic Scandinavian sound, we hear a lot of 1349 in the mix actually, with the impossibly furious drumming (programmed not played) and lightning fast riffing. The production is super tight and polished, the sound is massive and heavy, the band shift effortlessly from blazing blasts of black, to lurching doomy grooves, to long blown out guitardrones, to crushing megadoom, the fast bits rife with fucked up mathy twists and turns, the slow parts peppered with dissonant chords and woozy Deathspell like arrangements, and while there are plenty of experimental flourishes, the trippy ambient guitar buzz of the record's closer, the awesome stretch of murky muted full band rocking closing out "Domus Mundi", the abstract guitar drone dirge of the title track, as a whole, this is less experimental, and more a fierce and furious head shearing super technical black metal blast from below. Way recommended, for fans of any of the above mentioned bands, and pretty much anyone into the classic sounds of both French and Norwegian style buzzing blackness."

THE OMEGA ORDER "THE END RECORDS"
"The French black metal underground produces another incredible band...Dwellers Of The Twilight wield an epic, monumental black metal sound, somewhere between Anaal Nathrakh and Carpathian Forest. Blasting, spiteful modern black metal with apocalyptic atmosphere and images of industrial decay. Released on Eichenwald Industries."